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Recueil d'indigestions
Recueil d'indigestions
  • J'aimerais partager mon plaisir d'écrire des histoires inspirés par de réelles indigestions que j'ai eues ou que j'ai vues. Le titre de ce blog m'a été suggéré, bien malgré elle, par la jolie Claire Gautreau, co-animatrice du jeu "Pyramides" vers 1995.
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20 janvier 2020

Christine est malade après sa profession de foi d'avoir abusé de la pièce montée du déjeuner

La cérémonie des professions de foi et des communions solennelles de Sophie, Christine, et leurs amies d'aumônerie,  avait été magnifique. Sylvie, la maman de Christine, avait organisé une belle réception à laquelle avait été invitées entre autres sa soeur Diane avec ses deux filles Aude et Anne-Marie. Son amie de coeur Mathilde, accompagnée également de ses filles Bénédicte et Aurélie, que Sylvie considérait aussi comme ses propres filles, avait également étée invitée à la cérémonie religieuse et au repas. Christine, maintenant âgée de douze ans, était toute heureuse de porter sa belle aube, d'une blancheur immaculée, que sa tante Diane, qui était également sa marraine, lui avait, à sa grande joie, offerte pour son anniversaire, sachant qu'elle la porterait également pendant plusieurs années puisque, comme sa grande amie Sophie, elle était régulièrement servante d'autel à la messe le dimanche. Le repas avait été très copieux et Christine, qui était très gourmande et se trouvait à table avec ses cousines, y avait fait honneur d'une façon qui avait déjà un peu inquiétée Aude, l'aînée de ses cousines avec ses seize ans. Mais lorsque la pièce montée du dessert arriva, Christine, bien qu'elle n'eut plus très faim, en engloutit six portions, suscitant alors l'effroi général de ses cousines : à part Aude, qui était aussi blonde qu'elle, il y avait Bénédicte, Aurélie et Anne-Marie, un peu plus jeunes. Toutes étaient plutôt gourmandes, mais elles furent raisonnables et, contrairement à Christine, elles ne se rendirent pas malades cette fois-ci. Car, une fois que l'après-midi fut bien entamée, la jolie communiante blonde commença à se sentir mal à son aise. Peu après quatre heures, elle fut même prise d'une pressante envie d'aller aux cabinets à cause d'une forte diarrhée qui se manifesta en même temps qu'un légère sensation de mal de coeur. Aussi discrètement qu'elle le put, elle s'éclipsa du salon et se dirigea vers les lieux propices à se soulager en soulevant son aube d'une main et en appliquant de l'autre son joli mouchoir rose sur sa bouche. Vite, elle souleva son aube, baissa sa culotte et, juste après s'être assise sur le siège, elle évacua par ses fesses une véritable dégringolade liquide de diarrhée consécutive à sa gloutonnerie et à la vitesse avec laquelle elle s'était empiffrée. Malheureusement, c'est à ce moment-là que son estomac surchargé se révulsa à son tour : Christine se sentit soudain envahir par une grande faiblesse dans les jambes, et simultanément elle sentit une soudaine remontée se faire vers sa bouche. La fillette blonde ne réussit pas un contenir son vomissement et c'est un véritable torrent jaunâtre chargé des morceaux de choux à la crème et autres constituants de son trop gros repas qui alla inonder le sol des cabinets, en souillantant malheureusement sa belle aube tant affectionnée. 

Mais Aude qui la surveillait discrètement depuis la fin du déjeuner, car elle se soutait bien que sa cousine serait malade, l'avait suivie et arriva juste après le désastre. 'Oh Christine " dit-elle horrifiée par le spectacle. "Je te l'avais bien dit que tu allais te rendre malade ! Je vais chercher ta maman !" Puis , comme elle connaissait bien la maison de sa petite cousine, elle alla à la salle de bains chercher une grande bassine et lui apporta. " Tu devrais aller t'allonger sur ton lit, Christine", lui dit-elle doucment. Toute honteuse et malheureuse, la fillette blonde obéit à sa cousine sans rien dire et alla dans sa chambre s'allonger sur son lit, la cuvette à côté d'elle. Aude courut alors au salon prévenir Sylvie et Diane. "Maman, tante Sylvie, venez vite ! Christine vient d'être malade ! Elle a tout vomi au cabinets !". "Mon Dieu" s'écria Sylvie en se levant du canapé où elle était assise. "J'aurais dû mieux la surveiller". Diane dit alors à sa fille : "Pourquoi tu ne l'as pas empêchée de trop manger, ma chérie ? Tu sais bien qu'elle est trop gourmande". Mais Aude se défendit : "Mais j'ai essayé, maman, je t'assure". Puis elle pousuivit : "Je lui ai donné une bassine que j'ai trouvée à la salle de bains. Elle s'est couchée sur son lit. En fait elle a tout vomi sur le carrelage parce qu'elle venait d'avoir la colique et qu'elle était assise sur le siège !" prévint-elle avant que les deux femmes ne constatent elles-même la catastrophe. Arrivée à l'entrée des toilettes, et voyant effectivement l'ampleur des nettoyages à faire, Sylvie sourit à sa nièce : "Tu as bien fait, ma chérie. Quand Christine a décidé de s'empiffrer, elle n'écoute personne". Diane dit alors en souriant: "va la voir, Sylvie ; je vais commencer à nettoyer.

"Je vais t'aider, maman" dit alors Aude, qui se sentait malgré tout un peu coupable de l'indigestion de sa cousine. Mais Sylvie sourit : "Merci, ma chérie, mais nous allons nous en occuper toutes les deux. Ce sera vite fait au fond. Retourne avec ta soeur et tes cousines".

Puis Sylvie entra dans la chambre de Christine et la trouva toute pâle. "Comment te sens-tu, chérie ? Tu as encore envie de vomir ?"

"Oui maman" répondit la petite communiante toute honteuse d'un voix faible. J'ai affreusement mal au coeur encore. Je sens que ça va me reprendre." A ces mots, Sylvie défit le lit et ouvrit légèrement les draps. "Tu vas te mettre dans ton lit, chérie, dit-elle . Puis elle aida la fillette blonde à ôter san aube pour la ranger soigneusement dans sa penderie pendant que Christine, bien qu'elle se sentît encore toute barbouillée, réussit à se lever pour se déshabiller et enfiler sa chemise de nuit jaune. Enfin elle put se glisser entre ses draps. Elle se sentit heureuse de se trouver bien au chaud dans son lit si confortable, la grande bassine jaune, rassurante à côté d'elle, avec son son mouchoir toujours à portée de main, qui sera utile à cause des nausées qui la prirent encore à plusieurs reprises dans la nuit. Sylvie l'embrassa et lui dit : "je vais finir d'aider ta tante à nettoyer ton vomi, ma chérie. Puis je te ferai une tisane bien chaude qui te fera du bien".

    

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