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Recueil d'indigestions

Recueil d'indigestions
  • J'aimerais partager mon plaisir d'écrire des histoires inspirés par de réelles indigestions que j'ai eues ou que j'ai vues. Le titre de ce blog m'a été suggéré, bien malgré elle, par la jolie Claire Gautreau, co-animatrice du jeu "Pyramides" vers 1995.
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3 septembre 2020

Les indigestions de Bénédicte

Bénédicte est une très mignonne fillette, dotée d'une belle chevelure châtain clair, longue et légèrement bouclée. Très gentille, elle a cependant un gros défaut : elle est extrêmement gourmande, au point de s'en rendre fréquemment malade, au grand désespoir de Diane, sa jolie maman, qui a plusieurs fois été obligée de procéder à des nettoyages nocturnes après que sa petite fille eut vomi, soit dans son lit, soit sur le tapis du couloir menant aux cabinets.  Elle devait bien souvent surveiller Bénédicte pour l'empêcher de se goinfrer à table : "Ma chérie, tu vas encore te rendre malade à t'empiffrer ainsi", avait-elle l'habitude de lui dire pour essayer de la raisonner". Mais bien souvent c'est à quatre heures que la fillette, profitant de l'absence de sa maman, s'offrait des goûters trop copieux et prolongés jusque parfois presque six heures. Naturellement, lorsque l'heure de dîner arrivait, elle n'avait plus aucun appétit. La première fois que cela arriva, à l'âge de neuf ans, elle ne voulut pas l'avouer à sa mère et réussit péniblement, en se forçant, à terminer son repas sans rien laisser paraître. Le résultat fut qu'après s'être couchée et endormie, elle fut réveillée une heure plus tard, prise d'un vomissement si soudain qu'ele ne put se lever. Comme elle dormait sur le côté, enlaçant son gros oreiller, c'est ce dernier qui reçut le flot constitué de son dîner dont elle avait surchargé son estomac qui jaillit irrésistiblement de sa bouche. "Maman, maman, viens vite", appela-t'elle alors. Diane, qui à cette heure était encore en train de lire au salon, accourut aussitôt pour constater la catastrophe et contempler l'oreiller totalement inondé du vomi tout rose de Bénédicte. "Mon Dieu, ma chérie !" s'exclamat-elle, consternée. "Je t'avais bien dit que tu finirais par avoir une indigestion ! Tu es contente ? Tu trouves ça agréable de vomir ? Viens vite aux cabinets" ajouta-t'elle en lui prenant la main pour l'aider à se lever. Mais Bénédicte se sentit alors de nouveau malade. Elle sentit de nouveau son estomac se soulever et elle appliqua sa main contre sa bouche.

    L'indigestion qu'elle s'offrit quelques années plus tard, quand elle avait douze ans, à l'occasion de sa communion solennelle, fut également particulièrement mémorable.

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9 avril 2020

La profession de foi de Sophie et Aurélie et les indigestions qui s'ensuivirent

Aurélie et Sophie sont les meilleures amies du monde. Agées de douze ans, elles se ressemblent beaucoup avec leurs longs cheveux châtain clair, presque blonds. Elles servent ensemble régulièrement la messe le dimanche en aube, où elles forment un couple très aimé des fidèles. En ce début du mois de juin elles vont faire leur profession de foi. Pour cette occasion, leurs mamans ont eu la bonne idée d'organiser un repas commun en plain air chez Sophie, où il y a un grand jardin capable d'accueillir les  familles invitées.

Il faut dire que les deux gentilles fillettes ont en commun un petit péché mignon : leur gourmandise, surtout en ce qui concerne les pâtisseries, dont elles ont tendance à abuser lorsque leurs mamans ne sont pas avec elles pour les modérer. Il en résulte bien souvent des problèmes digestifs ou intestinaux plus ou moins importants allant des simples coliques jusqu'aux plus belles indigestions. De plus parmi les invitées à la cérémonie et au repas se trouvaient plusieurs de leurs cousines, dont certaines avaient le même petit défaut. Ainsi Anne-Marie et Bénédicte étaient les cousines de Sophie alors que Pascale et Christine étaient celles d'Aurélie.

20 janvier 2020

Christine est malade après sa profession de foi d'avoir abusé de la pièce montée du déjeuner

La cérémonie des professions de foi et des communions solennelles de Sophie, Christine, et leurs amies d'aumônerie,  avait été magnifique. Sylvie, la maman de Christine, avait organisé une belle réception à laquelle avait été invitées entre autres sa soeur Diane avec ses deux filles Aude et Anne-Marie. Son amie de coeur Mathilde, accompagnée également de ses filles Bénédicte et Aurélie, que Sylvie considérait aussi comme ses propres filles, avait également étée invitée à la cérémonie religieuse et au repas. Christine, maintenant âgée de douze ans, était toute heureuse de porter sa belle aube, d'une blancheur immaculée, que sa tante Diane, qui était également sa marraine, lui avait, à sa grande joie, offerte pour son anniversaire, sachant qu'elle la porterait également pendant plusieurs années puisque, comme sa grande amie Sophie, elle était régulièrement servante d'autel à la messe le dimanche. Le repas avait été très copieux et Christine, qui était très gourmande et se trouvait à table avec ses cousines, y avait fait honneur d'une façon qui avait déjà un peu inquiétée Aude, l'aînée de ses cousines avec ses seize ans. Mais lorsque la pièce montée du dessert arriva, Christine, bien qu'elle n'eut plus très faim, en engloutit six portions, suscitant alors l'effroi général de ses cousines : à part Aude, qui était aussi blonde qu'elle, il y avait Bénédicte, Aurélie et Anne-Marie, un peu plus jeunes. Toutes étaient plutôt gourmandes, mais elles furent raisonnables et, contrairement à Christine, elles ne se rendirent pas malades cette fois-ci. Car, une fois que l'après-midi fut bien entamée, la jolie communiante blonde commença à se sentir mal à son aise. Peu après quatre heures, elle fut même prise d'une pressante envie d'aller aux cabinets à cause d'une forte diarrhée qui se manifesta en même temps qu'un légère sensation de mal de coeur. Aussi discrètement qu'elle le put, elle s'éclipsa du salon et se dirigea vers les lieux propices à se soulager en soulevant son aube d'une main et en appliquant de l'autre son joli mouchoir rose sur sa bouche. Vite, elle souleva son aube, baissa sa culotte et, juste après s'être assise sur le siège, elle évacua par ses fesses une véritable dégringolade liquide de diarrhée consécutive à sa gloutonnerie et à la vitesse avec laquelle elle s'était empiffrée. Malheureusement, c'est à ce moment-là que son estomac surchargé se révulsa à son tour : Christine se sentit soudain envahir par une grande faiblesse dans les jambes, et simultanément elle sentit une soudaine remontée se faire vers sa bouche. La fillette blonde ne réussit pas un contenir son vomissement et c'est un véritable torrent jaunâtre chargé des morceaux de choux à la crème et autres constituants de son trop gros repas qui alla inonder le sol des cabinets, en souillantant malheureusement sa belle aube tant affectionnée. 

Mais Aude qui la surveillait discrètement depuis la fin du déjeuner, car elle se soutait bien que sa cousine serait malade, l'avait suivie et arriva juste après le désastre. 'Oh Christine " dit-elle horrifiée par le spectacle. "Je te l'avais bien dit que tu allais te rendre malade ! Je vais chercher ta maman !" Puis , comme elle connaissait bien la maison de sa petite cousine, elle alla à la salle de bains chercher une grande bassine et lui apporta. " Tu devrais aller t'allonger sur ton lit, Christine", lui dit-elle doucment. Toute honteuse et malheureuse, la fillette blonde obéit à sa cousine sans rien dire et alla dans sa chambre s'allonger sur son lit, la cuvette à côté d'elle. Aude courut alors au salon prévenir Sylvie et Diane. "Maman, tante Sylvie, venez vite ! Christine vient d'être malade ! Elle a tout vomi au cabinets !". "Mon Dieu" s'écria Sylvie en se levant du canapé où elle était assise. "J'aurais dû mieux la surveiller". Diane dit alors à sa fille : "Pourquoi tu ne l'as pas empêchée de trop manger, ma chérie ? Tu sais bien qu'elle est trop gourmande". Mais Aude se défendit : "Mais j'ai essayé, maman, je t'assure". Puis elle pousuivit : "Je lui ai donné une bassine que j'ai trouvée à la salle de bains. Elle s'est couchée sur son lit. En fait elle a tout vomi sur le carrelage parce qu'elle venait d'avoir la colique et qu'elle était assise sur le siège !" prévint-elle avant que les deux femmes ne constatent elles-même la catastrophe. Arrivée à l'entrée des toilettes, et voyant effectivement l'ampleur des nettoyages à faire, Sylvie sourit à sa nièce : "Tu as bien fait, ma chérie. Quand Christine a décidé de s'empiffrer, elle n'écoute personne". Diane dit alors en souriant: "va la voir, Sylvie ; je vais commencer à nettoyer.

"Je vais t'aider, maman" dit alors Aude, qui se sentait malgré tout un peu coupable de l'indigestion de sa cousine. Mais Sylvie sourit : "Merci, ma chérie, mais nous allons nous en occuper toutes les deux. Ce sera vite fait au fond. Retourne avec ta soeur et tes cousines".

Puis Sylvie entra dans la chambre de Christine et la trouva toute pâle. "Comment te sens-tu, chérie ? Tu as encore envie de vomir ?"

"Oui maman" répondit la petite communiante toute honteuse d'un voix faible. J'ai affreusement mal au coeur encore. Je sens que ça va me reprendre." A ces mots, Sylvie défit le lit et ouvrit légèrement les draps. "Tu vas te mettre dans ton lit, chérie, dit-elle . Puis elle aida la fillette blonde à ôter san aube pour la ranger soigneusement dans sa penderie pendant que Christine, bien qu'elle se sentît encore toute barbouillée, réussit à se lever pour se déshabiller et enfiler sa chemise de nuit jaune. Enfin elle put se glisser entre ses draps. Elle se sentit heureuse de se trouver bien au chaud dans son lit si confortable, la grande bassine jaune, rassurante à côté d'elle, avec son son mouchoir toujours à portée de main, qui sera utile à cause des nausées qui la prirent encore à plusieurs reprises dans la nuit. Sylvie l'embrassa et lui dit : "je vais finir d'aider ta tante à nettoyer ton vomi, ma chérie. Puis je te ferai une tisane bien chaude qui te fera du bien".

    

12 décembre 2019

Une petite enfant de choeur est malade avant d'aller à la messe qu'elle devait servir

Justine et Flore sont deux inséparables copines de onze ans. Elles sont très mignonnes, avec leurs longs cheveux châtain clair, et d'une grande gentillesse. Elles servent régulièrement la messe, vêtue toutes deux de leurs belles aubes dont elles veillent avec amour à leur conserver leur blancheur immaculée, faisant ainsi la joie de leurs mamans et inspirant l'affection de tous les fidèles. Mais leur gentillesse n'a d'égale que leur gourmandise : ce samedi là, elles étaient toutes deux chez leur amie Sophie qui fêtait son anniversaire, en compagnie d'autres copines de collège. Le goûter préparé par la jolie maman blonde de Sophie, était très copieux : gâteau au chocolat, crème à la vanille, tarte aux fraises, sans compter les pâtisseries apportées en plus par Aurélie, qui était fille de boulangers-pâtissiers, et qui était venue avec des éclairs au chocolat, des religieuses, et des choux à la crème. Tout heureuses, elles profitèrent que leurs mamans n'étaient pas là pour modérer leur gourmandise, et elles s'empiffrèrent pendant plus d'une heure. Or, Flore devait être présente à 18h30 à l'église pour la messe du samedi soir, Justine devant faire le service de la messe du dimanche matin. La maman de Flore vint chercher sa fille un peu avant 18h, pour avoir le temps de retourner chez elles pour y prendre son aube. Mais Flore, sur le chemin du retour, commença à avoir un peu mal au ventre pour avoir trop mangé. Une fois rentrée à la maison, il restait une bonne demi-heure avant de devoir se rendre à l'église voisine, et, après avoir mis son aube dans le sac qui lui était consacré pour l'emporter à l'église, elle s'allongea sur son lit, espérant, un peu inquiète, que son mal de ventre allait passer. Mais peu après, elle fut prise soudain d'un besoin très urgent d'aller aux cabinets, car sentit brusquement une colique descendre vers son derrière. Vite, elle se leva et courut aux lieux d'aisance. Elle eut juste le temps de baisser sa culotte et, sa jupe rose par dessus le siège, ses fesses évacuèrent un énorme torrent de diarrhée. Simultanément, elle fut prise d'un haut-le-coeur aussi soudain que sa diarrhée. Par réflexe, elle porta son mouchoir à sa bouche pour tenter de contenir le vomissement inévitable qui s'annonçait. Pendant quelques secondes elle y parvint, puis, sa diarrhée semblant maintenant tari, elle put se relever et se tourner la tête vers la cuvette. Juste à temps, car cette fois-ci elle ne put plus contenir le vomissement, et un flot tout jaune chargé des morceaux de son trop gros goûter jaillit soudain de sa jolie bouche et se mêla à la diarrhée au fond de la cuvette, éclaboussant même le siège en même temps.

"Maman, maman", appela-t'elle faiblement. "Viens vite ! Je suis malade !" Danièle, sa mère, accourut à l'appel de sa fille. "Oh! Ma chérie !", fit-elle, consternée, en constatant le résultat de la gourmandise de Flore. "Tu ne vas pas pouvoir aller à l'église maintenant !" Flore, alors, toute honteuse, dit alors d'une petite voix timide : "Peut-être que Justine pourrait y aller à ma place, maman ?" Aussitôt Danièle appela Geneviève, la mère de Justine, pour lui expliquer ce qui venait de se passer.  Geneviève dit alors : "Bien sûr, Juju va la rempacer, la pauvre ! Je vais tout de suite aller la chercher chez Sophie. Pourvu qu'elle ne se soit pas rendue malade aussi", ajouta-t'elle en riant, au fond un peu amusée."

Pour gagner du temps, Geneviève emporta avec elle l'aube de Justine et alla chez Sophie, à proximité. Lorsqu'elle expliqua à sa fille ce qui était arrivé à Flore, comment elle venait d'être malade, Justine sourit également et dit : "Ca ne m'étonne pas vraiment,"dit-elle. " J'ai bien eu l'impression qu'elle avait trop mangé, surtout des choux à la crème. C'est vrai qu'ils étaient drôlement bons." La femme et la fillette allèrent alors à l'église, où elles arrivèrenr juste à temps pour que Justine aille dans la sacristie revêtir son aube. Geneviève, pendant ce temps, expliqua au prêtre ce qui était arrivé à la pauvre Flore, ce qui l'amusa beaucoup. "Il faudra qu'elle vienne se confesser de son péché de gourmandise, mais je pense qu'elle doit se sentir déjà bien punie".

Pendant ce temps, Flore s'était déshabillée et s'était couchée dans son lit douillet, se sentant un peu mieux, mais avec encore un léger mal de coeur. Sa maman lui avait préparé une tisane bien chaude qu'elle but à petites gorgées, assise contre ses oreillers roses. Danièle avait pris la sage précaution de disposer une cuvette sur les genoux de Flore, redoutant que la boisson chaude ne provoque un nouveau vomissement. Et de fait, la fillette blonde fut encore prise d'un irrésistible haut-le -coeur et rendit un nouveau flot jaune dans la cuvette. Puis, soulagée, elle put se rallonger confortablement contre ses oreillers pendant que sa maman alla vider et rincer la bassine, qu'elle replaça ensuite à côté du lit de Flore.

Une fois la messe finie, Justine tint à venir voir sa copine. Lorsqu'elle vit sa grande amie entrer dans sa chambre,  Flore se sentit toute heureuse et lui sourit. Justine vint l'embrasser affectueusement et la taquina gentiment sur sa gourmandise. 

"Demain je pourrai aller servir la messe, maman ?" demanda-t'elle à sa maman qui était restée présente dans la chambre.

"Nous verrons comment tu te sens, chérie", répondit Danièle en souriant. "J'appellerai ta maman pour lui dire si Flore est assez rétablie pour y aller", dit-elle ensuite à Justine.

"Je peux très bien y retourner demain, Flore, si tu préfères rester au lit", dit alors Justine en souriant. Puis Justine, après avoir embrassé de nouveau Flore et sa maman, rentra chez elle.   

 

21 novembre 2019

Christine se goinfre à son goûter d'anniversaire pour ses quinze ans

Pour fêter le quinzième anniversaire de Christine, Sylvie, sa mère, et Mathide, l'épouse de cette dernière depuis deux ans, décidèrent de lui faire plaisir en organisant un grand goûter où seraient invités ces cinq grandes amies : Sophie, naturellement, Flore, Justine, Aurélie et Anne-Marie, avec lesquelles elle avait secrètement fondé le club des gourmandes trois ans auparavant, à l'occasion de leurs professions de foi et communions solennelles, car elles avaient toutes les cinq été malades, soit avant, comme Sophie et Justine, soit après le repas de communion, comme Christine, Flore, et Anne-Marie. La condition pour être membre de ce club était simple : certifier sur l'honneur d'avoir eu au moins une indigestion dans l'année en cours, puis s'en donner au minimum une par an ensuite. 

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8 octobre 2019

Christine est malade en classe. Elle vomit tout son déjeuner devant ses amies

Cela se passa peu après la rentrée scolaire en 6ème. Christine et Sophie, qui étaient voisines de table, avaient vite sympathisé car elles avaient des goûts communs. Christine était jolie, très blonde, avec de beaux cheveux un peu bouclés. Elle avait de beaux yeux bleu foncé qui avaient séduit Sophie immédiatement. Son seul petit défaut était sa gourmandise qu'elle avait beaucoup de difficulté à réfréner, et les excès qu'elle commettait souvent, outre qu'ils étaient responsables d'un léger embonpoint, lui valait bien souvent des problèmes digestifs, allant de simples coliques à de véritables indigestions, avec mal de cœur, nausées et vomissements abondants et également des diarrhées quand elle abusait de pâtisseries crémeuses dont elle raffolait. Ce jour-là, au repas de midi qu'elles prenaient à la cantine du collège, il y avait une bonne choucroute garnie avec pommes de terre, saucisses, jambon, et autres garnitures que Christine aimait beaucoup. Elle en reprit trois fois, sous les yeux de Sophie, qui finit par s'inquiéter : "tu n'as pas peur d'être malade, Christine, à manger autant ? 

"Mais non, ne t'inquiète pas, Sophie", répondit la fillette blonde. Et pour conclure son déjeuner, elle prit en plus deux éclairs au chocolat comme dessert, au grand effroi de ses autres camarades.

Mais environ une heure après, alors qu'elles étaient en classe de français, Christine commença à se sentir un peu mal à l'aise. Elle essaya de se rassurer en se disant qu'elle n'avait pas tant mangé que cela, mais son impression de malaise ne fit qu'augmenter dans les minutes suivantes, au point de devenir un véritable mal de cœur, comme cela lui arrivait souvent. Une envie de vomir commença à s’installer. Et soudain elle fut prise d'une nausée qu'elle réussit à dissimuler en portant prestement à sa bouche le mouchoir rose et blanc qu'elle tenait serré dans sa main. Mais cela n'échappa pas à Sophie :"je te l'avais bien dit, Christine, dit-elle doucement en prenant gentiment la main de sa copine qu'elle aimait tendrement." Elle leva alors la main pour attirer l'attention de madame Pascal, la professeure : "oui Sophie", dit cette dernière. "Que se passe-t'il ? Tu as envie d'aller aux toilettes ?"  

"Non madame" répondit la fillette aux longs cheveux dorés. "C'est Christine. Je crois qu'elle a va vomir". Mais c'est à ce moment-là que Christine fut prise d'un nouvel haut-le-cœur  qu'elle ne put cette fois contenir : irrésistiblement son estomac  surchargé rejeta  vers sa bouche tout son contenu, et la fillette blonde vomit pendant au moins dix secondes un énorme flot d’un jaune proche de la couleur de ses beaux cheveux très blonds, chargé des morceaux non digérés de sa choucroute et de ses éclairs. Tout ce magnifique vomi s'étala dans l'allée dans une somptueuse mare, suscitant la répugnance de certaines fillettes et les moqueries de plusieurs autres. Sophie vint alors au secours de sa copine qui avait fondu en larmes : elle prit gentiment son amie par les épaules et répliqua aux moqueuses : "Ce n'est pas gentil de vous moquer de Christine. Ne me dites pas que vous ne vous êtes jamais rendues malades d'avoir un peu trop mangé ! Moi ça m’est arrivé dans la nuit de samedi à dimanche dernier, si vous voulez le savoir". Madame Pascal renchérit en consolant la pauvre Christine, qui, toute honteuse, ne pouvait détacher les yeux du résultat de sa gloutonnerie. "Sophie va te conduire à l'infirmerie. Tu pourras t'y allonger en attendant que ta maman vienne te rechercher. L'infirmière va l'appeler pour qu'elle vienne vite pour que tu rentres chez toi te mettre au lit. Puis elle embrassa gentiment la petite fille blonde qui lui sourit, émue de sa gentillesse, en séchant ses larmes avec son joli mouchoir.

 

3 octobre 2019

Sophie abuse des choux à la crème de la pièce montée lors de sa première communion

 C'est à huit ans que la petite fille  de Diane fit sa première communion, et qu'à cette occasion elle s'offrit sa première indigestion pour s'être littéralement empiffrée des choux à la crème de la pièce montée.

Ses cheveux blonds joliment coiffés, vêtue d'une très belle robe blanche offerte par sa marraine

18 juillet 2019

Christine et Isabelle font un concours de gourmandise au goûter d'anniversaire de Sophie. Ce qui en résulte dans la nuit

Pour fêter son dixième anniversaire, Sophie demanda à sa maman si elle pouvait organiser un gros goûter où elle inviterait ses meilleures amies.

14 juillet 2019

Sophie s'offre une indigestion avant sa profession de foi

C’est à l’occasion de la préparation de sa profession de foi et de sa communion solennelle que Sophie se donna la plus belle indigestion dont elle garda le souvenir. Les fillettes de douze ans avaient commencé une retraite de quelques jours à partir du mardi, retraite au cours de laquelle elles passaient la journée à l’église. Le mercredi après-midi, Sophie est rentrée assez tôt chez elle. Sa maman l’attendait et l’embrassa. Vers quatre heures et demie la fillette blonde a commencé à se faire à goûter, se faisant des tartines de confiture dont elle était très gourmande. A plusieurs reprises, pendant presqu’une heure, elle retourna à la cuisine pour se préparer et manger de nouvelles tartines, ce qui n’échappa pas à sa mère, comme elle le lui dit dans la nuit une fois que la catastrophe se soit produite et qu’elle dut procéder aux nettoyages indispensables. Quand l’heure du dîner arriva, Sophie n’avait naturellement plus très faim et elle se sentait un peu inquiète déjà. Elle ne dit rien et arriva tout-de-même à terminer son repas, non sans se forcer un peu. Sa précédente indigestion s’était produite l’année précédente et elle avait eu le temps de se lever (c’était également en pleine nuit) et d’aller aux cabinets heureusement voisins de sa chambre lorsqu’elle avait senti le vomissement monter. Elle avait vomi à cette occasion un énorme torrent jaune dans la cuvette. Elle se souvenait que sa mère, évoquant cette indigestion, l’avait félicitée d’avoir eu l’intelligence de vomir dans la cuvette.

La petite fille blonde alla se coucher vers neuf heures comme d’habitude et rapidement elle s’endormit. Mais son sommeil fut de courte durée car elle se réveilla une heure après. Lorsqu’elle entendit encore de l’animation dans l’appartement et qu’elle vit qu’il était si tôt dans la nuit, l’inquiétude commença à l’envahir. L’idée qu’elle allait peut-être être malade s’imposa. Elle essaya de se rassurer en se remémorant ce que elle avait mangé en se disant que ce n’était pas tant que cela, rien n’y fit. Elle essaya de me rendormir, se tournant et se retournant dans son lit. Soudain elle sentit une grande faiblesse envahir ses jambes et, simultanément, elle sentie une violente remontée vers sa bouche. Vite, elle se leva, la main sur la bouche, les joues gonflées par toute la nourriture qu’elle allait vomir, et elle se précipita aux cabinets, juste à temps encore une fois, car elle vomit un énorme flot rose chargé de morceaux du dîner, à moitié dans la cuvette et à moitié sur le siège. Sa mère, qui était encore au salon à cette heure, avait tout entendu et arriva tout de suite. Elle constata la catastrophe, et dit   sévèrement  Sophie : « Cela ne m’étonne pas ! Quand je t’ai entendu goûter et regoûter cet après-midi, j’ai bien pensé que tu allais encore te flanquer une indigestion ! »  Tout honteuse, Sophie ne dit rien et contempla le résultat de sa goinfrerie. Elle alla à la salle de bain voisine se rincer la bouche et le nez d’où pendait du vomi rose. A cette vision elle fut pris d’un nouveau haut-le-cœur et faillit revomir. Une fois que cela fut fait, elle fut heureuse de pouvoir retourner dans son lit se recoucher. Sa mère lui apporta une tasse de tisane chaude qu’elle but à petite gorgées. Elle demanda une cuvette à côté de son lit, mais sa maman ne jugea pas cela nécessaire, pensant que son vomissement l’avait totalement soulagée et il est vrai que Sophie ne se sentait plus barbouillée à ce moment. Mais ce qui se passa plus tard lui fit probablement regretter de ne pas avoir accédé à sa demande, car, après s’être rendormie, elle se réveilla de nouveau vers minuit. Peu après elle commença à se sentir de nouveau mal à l’aise. Après s’être encore agitée dans son lit, elle se sentit prise d’une nouvelle remontée soudaine vers sa bouche en même temps qu’elle ressentit une grande impression de faiblesse. Elle se releva, la main sur la bouche pour essayer cette fois encore de contenir le vomissement le temps de pouvoir arriver aux cabinets. Mais cette fois ce vomissement fut si fort qu’elle ne put le retenir et elle rendit un nouveau flot rose aussi abondant que le premier sur la moquette du couloir devant la porte des cabinets. Sa mère, à cette heure, était couchée et c’est en robe de chambre qu’elle accourut à son appel et ne put que constater la nouvelle catastrophe. Elle fut obligée cette fois de nettoyer le résultat de la goinfrerie de la pauvre Sophie avec seau, éponge et serpillère. Elle regretta bien de ne pas l’avoir écoutée lorsqu’elle lui avait demandé une cuvette après son premier vomissement mais elle ne le dit pas et Sophie ne dit rien non plus, se sentant trop honteuse de s’être donné une telle indigestion quelques jours à peine avant de pouvoir porter sa belle aube blanche, symbole de pureté, bien contraire à cette indigestion consécutive à sa goinfrerie,  pour sa profession de foi. Après s’être de nouveau nettoyé la bouche et le nez, elle put retrouver son lit avec plaisir et le reste de la nuit se passa assez bien, avec un sommeil malgré tout un peu agité. Au matin, elle se sentit même suffisamment bien pour aller à sa retraite normalement, et elle raconta tout à Christine qui l’embrassa affectueusement en riant de bon cœur et la réconforta en lui avouant qu’elle aussi avait eu une belle indigestion peu de temps avant.

 

26 juin 2019

Christine s'offre encore une belle indigestion !

 

Au moment où se déroulait cette histoire, Christine était une jolie fillette de douze ans, très blonde, avec des yeux d’un beau bleu foncé. Elle avait un visage plein, avec de bonnes joues qui laissaient supposer une petite fille gourmande, ce qui était effectivement bien le cas. Elle et son amie Sophie, blonde également, mais d’une blondeur dorée plus délicate, adoraient se faire des gros goûters chez l’une ou chez l’autre. Leurs mamans respectives, Sylvie pour Christine et Catherine pour Sophie étant en général à leur travail, Sylvie au magasin de prêt-à-porter féminin qu’elle tenait avec son amie Magali, et Catherine à son salon de coiffure, se trouvaient rarement à la maison à l’heure où les fillettes se faisaient à goûter  et donc, sans surveillance pour les modérer, celles-ci laissaient bien souvent libre cours à leur gourmandise. Leurs goûters duraient souvent plus d’une heure, avec en général de généreuses tartines de confiture et parfois, lorsqu’elles le pouvaient, des gâteaux achetés à la boulangerie de leur copine Aurélie, et ne s’arrêtaient qu’au moment où la maman était de retour, passé six heures bien souvent. Autant dire que lorsqu’arrivait l’heure du dîner, les deux fillettes blondes n’avaient plus guère d’appétit. Cela s’était produit en particulier deux ans auparavant, alors qu’elles étaient donc âgées de dix ans, et aucune des deux n’osa dire à sa maman qu’elle n’avait pas faim pour avoir trop goûté et trop tardivement. Elles se forcèrent donc, chacune chez elle, à terminer leur dîner sans rien dire et allèrent au lit, à la même heure pour les deux, soit neuf heures environ. Comme elles se le racontèrent quand elles se revirent le surlendemain après une journée qu’elles passèrent toutes deux en grande partie au lit, il leur arriva dans la nuit la même chose, presque au même moment, ce qui contribua à établir entre elle une grande complicité et une affection réciproque profonde. Elles furent en effet toutes deux victimes d’une indigestion qui les réveilla environ une heure après qu’elles se furent couchées et qui se manifesta par une sensation de malaise qui les envahit progressivement. Christine, vêtue de sa chemise de nuit jaune à fleurs roses préférée, dormait en serrant contre elle ses deux gros oreillers si moelleux qu’elle aimait au point de ne pouvoir s’en passer, lorsqu’elle se réveilla. Elle vit qu’elle n’avait dormi qu’une heure, et cela l’inquiéta, car cela lui était déjà arrivé d’être malade en pleine nuit pour avoir trop mangé au dîner et elle savait bien ce qui risquait d’arriver : vomir dans son lit sur son oreiller comme elle avait fait l’année précédente après la profession de foi de sa cousine Aude, qui, de deux ans son aîné, était aussi blonde et gourmande qu’elle, où elle s’était empiffrée des choux à la crème de la pièce montée tout l’après-midi. Aude, d’abord amusée de voir la gloutonnerie de Christine, avait fini par s’en inquiéter et lui avait gentiment dit : « Christine », « tu vas te rendre malade si tu continues de te goinfrer de choux à la crème. C’est très indigeste, tu sais ! J’en ai été malade une fois d’en avoir trop mangé et je t’assure que ce n’est pas agréable du tout.  Non seulement j’ai tout vomi le soir mais en plus j’ai passé la nuit à aller aux toilettes à cause des diarrhées que cela m’a donnée et je suis restée barbouillée le lendemain à devoir rester au lit toute la journée avec la cuvette à côté du lit. J’ai eu mal au cœur comme jamais cela ne m’était arrivé ! Alors fais ce que tu veux, évidemment. Mais je t’aurais prévenue. », ajouta t’- elle. Christine sourit à sa cousine qu’elle aimait beaucoup, mais après qu’Aude fut partie, elle continua néanmoins à s’empiffrer consciencieusement avec ce qui restait de la pièce montée, et elle ne s’arrêta que lorsque celle-ci fut terminée et qu’elle se sentit de toute façon totalement incapable de manger davantage. Naturellement, une heure après, elle avait commencé à se sentir mal et elle fut heureuse lorsque le moment sa maman l’appela pour rentrer à la maison. Dans la voiture elle resta silencieuse, ce qui étonna sa mère. « Ca ne va pas, ma chérie ? » s’inquiéta- t-elle ?

« Non maman, répondit faiblement Christine. « Je me sens barbouillée depuis tout-à-l’heure. Je… je  crois qu’Aude avait raison. J’ai trop mangé de la pièce montée. Je sens que je vais être malade».

« Nous sommes bientôt arrivées, ma chérie » dit-alors Sylvie. « Ouvre la fenêtre si tu as envie de vomir ».

Christine obéit. Heureusement car quelques secondes après elle fut prise d’un haut-le-cœur et elle vomit soudain un abondant flot jaune rempli des morceaux des choux à la crème dont elle s’était empiffrée  tout l’après-midi.

« Te sens-tu mieux, chérie ? » demanda sa maman inquiète. « Non maman, répondit Christine faiblement. J’ai encore mal au cœur ». « Nous sommes arrivées. Tu vas aller au lit, ma chérie ». Sylvie prit Christine par la main et la conduisit vite dans sa chambre alors que la fillette blonde se sentit de nouveau mal. La main sur la bouche, elle se précipita vers les cabinets où elle revomit un nouveau torrent jaune dans la cuvette.

Sylvie la sermonna tendrement : «Tu vois ce qui arrive quand on est trop gourmande, ma chérie. » Elle conduisit Christine à la salle de bains où la fillette blonde put se nettoyer et se rincer avant de pouvoir aller dans son lit. Sylvie alla préparer une tisane et l’apporta à la petite fille qui se sentait toute honteuse dans son lit. Sylvie la consola : « Ne t’en fais pas, ma chérie. Moi aussi je me suis donné des indigestions quand j’étais une petite fille. Je te raconterai. » Par précaution, Sylvie alla chercher la plus grande cuvette jaune sous la baignoire et la disposa à côté du lit de la fillette blonde.

Un peu consolée, Christine but à petites gorgées la tisane qui lui fit du bien et elle s’endormit peu après.  Mais plus tard dans la nuit, elle se réveilla, prise d’une soudaine envie d’aller aux cabinets et se leva précipitamment, juste à temps au moment où elle ne put plus retenir, et elle s’assit juste à temps pour libérer un torrent de diarrhée. Simultanément, son estomac, encore surchargé de sa goinfrerie, se révulsa de nouveau et elle revomit sur sa jolie chemise de nuit rose un nouveau flot aussi jaune et chargé que les précédents. 

« Maman, maman » appela-t’-elle d’une petite voix faible. Sylvie, qui était couchée mais pas encore endormie, accourut et constata le désastre. « Mon Dieu » s’exclama-t-elle consternée. De nouveau elle conduisit la fillette blonde à la salle de bains pour lui ôter la chemise de nuit éclaboussée de tout son vomi et la nettoyer. Puis, une fois Christine soulagée, elle put retourner se coucher.

« Si tu as encore de la diarrhée, ma chérie » dit sa maman en la recouchant et en l’embrassant, « prends aussi ta cuvette avec toi sur tes genoux au cas où tu revomirais encore.

« Oui maman » répondit faiblement Christine, la tête blonde enfouie dans son gros oreiller.

A plusieurs reprises, Christine eut de la diarrhée dans le reste de la nuit. Comme l’avait demandé sa maman, elle prit la cuvette sur ses genoux, mais elle ne revomit plus et réussit à dormir jusqu’au lendemain matin. Elle passa la journée au lit pour se rétablir de cette indigestion.

 

 

 

 

           

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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